Collectif 2POINGS
Avec Carlos CARRERAS - Antonio RODRIGUEZ YUSTE et
Samuel BOBIN
Une performance en langue des signes percutante et nécessaire sur l'horreur de la guerre. Les textes, nés des tragédies récentes en Ukraine, en Israël et à Gaza, sont un cri de rage face à l'absurdité de la violence.
La performance réactualise l'ancien slogan "Maudite soit la guerre", pour rappeler qu'en 2025, ce cri d'alarme est plus pertinent que jamais. C'est une œuvre pour dire l'oubli, pour dénoncer le fait que les victimes ne sont que des chiffres, pour retrouver la raison et la pensée face à l'actualité.
"GUERRE" est un manifeste poétique contre la barbarie, pour hurler au monde que la paix est la seule voie.
Un spectacle qui nous exhorte à l'intelligence contre la violence.
Dans un spectacle empreint de mélancolie et de délire, Alfred, le majordome, s'adresse à sa famille – ou du moins, à ce qu'il en reste. Année après année, à l'occasion d'un anniversaire étrange, il leur sert le même plat : une blanquette de veau. Mais ce n'est pas un simple repas, c'est un rituel qui ramène à la surface les souvenirs d'une famille figée dans le temps.
Alfred est le témoin silencieux de leurs vies. Tout le monde est éternellement âgé de 40 ans, et leur père qui danse avec le fantôme de son épouse. Alors que les convives sont invités à revivre leurs émotions – qu'elles soient faites de rires, de larmes ou de disputes – Alfred veille, prêt à ramasser les morceaux d'une histoire brisée.
Ce spectacle nous plonge dans un huis clos familial où les souvenirs sont aussi palpables que le plat servi, et où le spectateur est invité à se faire invisible, témoin d'une danse entre la vie et la mémoire.
En quête de solitude et de liberté, deux protagonistes,
échoués sur une ile allégorique se confrontent l'un à l'autre.
Remettant en cause leur rêve d'isolement volontaire,
ils négocient le territoire qu'ils occupent pour accepter finalement de le
partager.
L'arrivée de migrants, naufragés sur leur ile, puis de promoteurs avides
d'exploitation,
va bouleverser leurs valeurs pour les emmener vers une forme de
renouveau dans la poursuite d'un avenir plus
humain.
L'utopie ne serait-elle pas, in fine, ce que l'on n'a pas encore essayé ?
Pour leur premier spectacle, elles ont joué "les diablogues Olympiques" Mise en scène Florence Morana
D’après les Diablogues de Dubillard, nous avons voulu, nous aussi, faire nos olympiades.
Avec ses dialogues du quotidien qui basculent dans le fantastique, l’ordre cède la place au chaos le plus hilarant.
Avec humour, gravité, poésie, mais avec une attention portée à l’humain, à son imperfection, à ses méandres.
Un magnifique quatuor de femmes, dépassé par le monde qui les entoure.
À vos gangs de boxe, vous n’avez pas peur ?
Parfois, on voudrait disparaître. Se dérober, s'enfuir, se réinventer. (Re)trouver sa vérité.
Disparaître et re-être.
Parfois, une rencontre advient, qui vous éblouit à jamais.
Parfois, on sent qu'avec soi-même, avec la possibilité d'un amour, c'est aussi le monde, la totalité du monde connu, du monde vivant, espéré, attendu, qui est en train de disparaître.
Année 2035. Dehors, tout vacille. Dedans, seule depuis trop longtemps, une femme parle. Elle n'a rien oublié. Cette nuit, elle lui raconte toutes ses histoires.
"J'ai toujours plus ou moins parlé toute seule. À voix haute. Dans les grands appartements vides. Mais pendant très longtemps je n'avais pas compris que c'était à toi
que je parlais. Je ne disais pas tu, mais en vrai, c'était à toi. Pendant tout ce temps. Quarante ans. Je sais, ça craint."
À partir d’un texte de l’auteur marseillais Serge Valletti, Roméa et Joliette. Nous présentons une première ébauche de représentation.
La situation de jeu, c’est une vue intérieure du moteur de théâtre, une visite guidée du théâtre avec un langage bien « foutraque » en dérapage contrôlé.
Un directeur de théâtre attend une troupe pour une répétition, ils arrivent accompagnés d’un metteur en scène complètement mégalo et fantasque. On se sait plus dans quel temps on se trouve, est-ce que c’est déjà une représentation, est-ce c’est simplement la préparation de la représentation ? Est-ce qu’ils jouent ? Est-ce qu’ils ne jouent pas ?
Dans ce tour de théâtre, nous n’allons pas rester dans l’univers shakespearien, mais convoquer plusieurs auteurs classiques et aussi faire un grand bond dans l’histoire avec le théâtre de boulevard.
Tout au long de la représentation, nous allons aborder, découvrir une multitude de caractères, d'émotions, de sentiments contradictoires, et nous frotter avec hardiesse et liberté aux personnages mythiques du répertoire classique.
Point contact.
Contact par le regard. Est-ce un contact ou pas?
Agression, intrusion, bienveillance, un point c'est tout.
Être dessiné : qu'est-ce que ça fait ? Et d'être regardé et dessiné ? Quel ressenti ? Quels sentiments ?
Être regardé, mais pas vu... ou au contraire être "vu" à travers l'apparence...
Entendu ou écouté ?
Rapidité dans l'exécution, vu - transpercé - dessiné....
Le modèle n'est qu'un point de départ et non d'arrivée.
Un acteur entre en scène pour présenter un numéro.
Au moment de commencer, son esprit est traversé par des personnages surgis de son enfance, de sa vie ou de son inconscient et le débordent complètement !
Réussira-t-il à finir son spectacle ? C’est tout l’enjeu de ce monologue.
" Il y a un homme, un très très vieux docteur qui est mort, il parlait avec une grande femme à boucles d’oreilles. Tous les deux ils parlaient, ils disaient des choses… comme ça. Des choses comme quoi ? Et bien, comme quoi nous les fous on est au front, en première ligne, on fait la guerre pour que tous les autres, les pas si fous, ils puissent trainer leur mélancolie à l’arrière et dormir sur leurs deux oreilles. On est des envoyés spéciaux dans l’insoutenable"
Ils sont deux. Lui, (le comédien) est venu pour dire le poème incontournable de Victor Hugo : « La conscience »…
Elle (le clown) est là pour questionner les mots, les idées, le sens de ce texte !
Deux personnages que tout oppose, réunis dans le plaisir de faire apparaître la réalité d’aujourd’hui au travers les mots d’hier ! Un duo improbable, aux surprises multiples, aux émotions exacerbées , aux cœurs tendres, malmenés par leurs hystéries respectives mais aux rires et sourires généreux !
Vendredi 28 octobre à 20h
Ami fidèle de l’Atelier, le Dié revient enfin nous enchanter. Les fans seront ravis. Pour les autres, c’est l’occasion de découvrir sa voix cassée et rocailleuse qui nous entraine
et nous accroche à ses ballades rock.
Chanteur à texte, Dié puise son inspiration dans son quotidien. Il chante l’amour, l’amitié, la gaité avec une grande sensibilité.
Homme de scène, c’est là qu’il prend le plus de plaisir mais aussi qu’il nous en donne jusqu’au bout de la nuit.
Dié : guitare & chant
Elie Crespin : piano
Florent Silve : contrebasse
Pourquoi demander
La longueur de mon nez
La forme de mes yeux
L’épaisseur de mes cheveux
La couleur de ma peau
La valeur de mes mots
- Extrait de la chanson du spectacle
Le spectacle est librement adapté d’extraits de textes courts, empruntés à des auteurs de théâtre jeune public et « remixés » par Mathilde Grandguillot.
Sous la forme de monologues ou de dialogues avec des personnages imaginaires, des enfants différents nous racontent leur anxiété d’être dissemblables, étranges, bizarres.
Ils parlent de préjugés, de rejets, de ce qu’ils doivent affronter. Ils sont mal dans leur peau, ils se sentent exclus de cette microsociété enfantine.
Le spectacle raconte la différence qui fait peur, l’intolérance qui rassemble.
Avec Mathilde Grandguillot
Mise en scène : Florence Morana
Marionnettes : Isabelle Castagnet
Film d’animation réalisé par les enfants de l’IME de St Jean à Albi
Jahir, est un duo guitaristico-vocal créé à Marseille en 2007
Un univers poétique intimiste et déstructuré où polyphonies,
cordes et clavier jouent les humeurs d'un jour… du jour…
Joëlle & JeanChristophe, auteurs-compositeurs, chantent les rêves et les peurs…
Et partagent rires et petites folies passagères…
Depuis 10 ans, l'identité de Pense-Bête se forge sur la personnalité de l'écriture et du chant de Jacques Andries, sur l'expressivité de la guitare de Nicolas Bihler et sur le "groove" de Pierre Lacube.
Le groupe s'est produit aux côtés de nombreux artistes reconnus : Sinsémilia, Têtes Raides, Alexis HK, HK et les Saltimbanques, Massilia Sound System, Ba Cissoko et bien d'autres...
Pour un aperçu de leur humour et de leur talent, cliquez ici : J'Aime Bien quand tu DANCE
Une île : La Crète. Un architecte : Dédale. Trois femmes : Pasiphae, Arianne, Phèdre.
Embarquez avec Hairati de la Cie Les Balladons pour découvrir les liens qui unissent ces trois femmes, et l'influence des inventions de Dédale sur leur vie.
Perdez-vous dans son labyrinthe, puis suivez son fil rouge pour rencontrer des héros comme Thésée ou Héraclès, des rois comme Minos et Egée, ou encore des monstres extraordinaires et des dieux terribles ...
Spectacle avec deux comédiennes, des marionnettes, du théâtre d'ombre, des images,
des chansons...
Ce spectacle apporte enfin les réponses que tous les enfants se posent : le père Noël était -il un petit garçon comme les autres ? Qui sont les lutins ? Qui est le père fouettard ?
Les enfants découvriront aussi une chaîne de fabrication de jouets et une vidéo incroyable du Père Noël.
Un spectacle comme un cadeau de Noël...
Durée : 45 mn
Auteur, compositeur, interprète, Fil Alex a choisi de célébrer l’animal pour mieux dénicher les travers de l’humain…
Son petit âne est libertaire, son chat se prend volontiers pour Don Juan, son serpent semble tout droit sorti du jardin d’Eden.
Certes, sa pie n’est pas voleuse pour un sou et son escargot n’a peut être pas toute sa coquille, mais sa chienne est la plus fidèle des compagnes.
Chant : Fil Alex
Piano : Patrick Fouque
"... Une superbe création, on a adoré... un
des meilleurs spectacles de chanson française que nous ayons vu à ce jour..." J.M Agnel. Directeur du théâtre Don Carlo
Betty Delange, 28 ans, retrouvée morte dans le canal. Un accident, forcément un accident. L'inspecteur Daffy aurait pu classer l'affaire, mais c'était sans compter sur un témoin gênant. Pendant ce temps-là, dans les thermes de l'hôtel, Jerry tente de régler son compte à Tom, coincé dans sa baignoire. Dans la chambre d'à côté, Donald veille. Ou du moins, il essaie, si seulement Betty le laissait travailler... Vous avez dit Betty ? Mais elle n'est pas morte, alors ? Quelqu'un peut-il m'éclairer ? Non, impossible : le courant est coupé.
On a fêté la rentrée !
Avec les artistes qui nous ont accompagnés cette année,
avec ceux que l'on recevra l'année prochaine, et avec VOUS !
Il y a eu des performances, de la musique, des projections,
de l'improvisation... Dans la salle de spectacle, dans l'espace bar
et sous les étoiles de notre jolie petite cour. Rita et Henri nous ont guidé dans
cette ambiance festive.
Merci à vous les artistes, à vous le public, pour cette très belle soirée.
C'est la saison des spectacles de fin d’année. Depuis 15 ans, Florence Morana donne des cours de théâtre qui aboutissent tous à des créations originales. Plusieurs raisons de venir les
découvrir : vous êtes fan, vous avez envie de faire du théâtre à la rentrée, ou vous êtes simplement amateurs de bons spectacles.
Mercredi 3 juin à 14 h
Depuis septembre, Florence
Morana intervient dans un atelier
théâtre pour des patients de
l’hôpital de jour Pressensé.
Le déroulement de chaque atelier
instaure un espace de jeu et de
sécurité, vecteur privilégié pour
renouer avec son corps et relancer
un imaginaire souvent arrêté.
Jeudi 18 et vendredi 19 juin à 20 h
Des valises nous traînent,
nous entraînent
dans un tourbillon théâtral,
sur un air de cinéma :
bon voyage !
Jeudi 25 et vendredi 26 juin à 20 h
Lundi 29 et mardi 30 juin à 20 h
La compagnie Les sardinapalmes est née d’une rencontre à l’Université du Temps Libre il y a sept ans.
Depuis, elle joue, elle écrit et interprète ses propres pièces, elle tourne dans les écoles et dans les Espaces Séniors...
Cette année Les Sardinapalmes ont choisi Florence Morana pour travailler leur passion du théâtre. Les sept comédiens vont interpréter une multitude de personnages, à travers la tragicomédie, le Boulevard, l'absurde...
Des textes, des lettres, des mots... Dépassé tout ça, dépassé ! Du nouveau, il nous faut du nouveau.
Alors défilez, têtes, célébrités, chiens en chapeau, faites place aux nouvelles idées. Faisons une
révolution des cerveaux, laissons les idées s'enfuir, tourner. De la mixité, enfin ! Ah, et pas d'espoir
surtout, c'est d'un surfait.
Reetmic.fr est un voyage poétique et sonore qui fait rire et swinguer toute la famille, qui montre à quel point il est facile
de jouer de la musique et de partager la joie !
Anatole et Rosalie se sont rencontrés sur reetmic. fr. Ils ont prévu ce soir de se voir comme à leur habitude, lors d'un "rendez-vous extra-rythmique". Ils constatent qu'ils ne seront pas en tête à tête pour cette fois... le public est là. C’est incommodant, ce n’était pas prévu comme ça…mais puisqu'il veut rester ils vont le faire participer !
Avec Barth Russo et Eglantine Rivière
Les 4 cousines vous proposent un spectacle musical et humoristique, à capella, déchaînant rires et applaudissements, déchirant bas et collants ! Leur répertoire est composé de polyphonies traditionnelles, d'airs variés et avariés qui s'entremêlent pour vous transporter dans un univers à la fois poétique et burlesque.
D’après la nouvelle de Dostoïevski, Douce est un drame classique, où, en l’espace d’une nuit, le personnage central se retrouve transformé.
L’adaptation scénique renforce le mordant d’un texte électrique. Elle aspire tout notre être et bouleverse nos sentiments... pour une reconstruction de soi plus sûre, basée sur l’amour de l’autre.
Ce spectacle créé à Saint-Pétersbourg est présenté exceptionnellement à Marseille et joué en français.
Mise en scène Amvrosly Svetlogorsky
Avec Thomas Metge et Polina Komarova
C'est quoi ?
Un prétexte pour partager un moment musicale, pour découvrir des univers, des artistes locaux et se rencontrer autour d'un apéro.
Les artistes présentent différentes formes de spectacles participatifs. L’échange avec le public est au cœur de ces rencontres musicales.
Avec qui ?
Barth RUSSO : musique corporelle participative.
Nash : human beatbox.
Pour les artistes de la compagnie Décalèou, représentations et transmission vont de pair. Ils déposent leurs bagages - la musique corporelle, la voix, le mouvement et le clown - à l'Atelier de mars pour sept représentations de leurs deux spectacles : Faits réels et Azuli duo.
Le jeudi 12, vendredi 13 et samedi 14 mars à 20 h
« Faits réels » est un spectacle sur le handicap qui s’inspire de situations comico-dramatiques vécues par Luc Rodriguez.
La mise en scène des deux comparses souligne l'absurdité de certaines situations dues au handicap.
Il est y question d'amour, de sport, d'art, de justice et de sport automobile La vie quotidienne d’un handicapé est bien plus drôle que vous croyez !
Avec Luc Rodriguez et Barth Russo
Les jeudis 19 et 26 mars, les vendredi 20 et 27 mars à 20 h
Azuli Duo est un voyage poétique et sonore qui fait rire et swinguer toute la famille, qui montre à quel point il est facile de jouer de la musique et de partager la joie !
Avec Barth Russo et Eglantine Rivière
Ils sont drôles et émouvants, virtuoses et maladroits, mais surtout généreux puisqu'ils transmettent au public leurs secrets....
À vous de venir jouer, de vous régaler des sons et des émotions.
Un duo chic tout en tendresse à mi-chemin entre le roudoudou, l'eau de rose, la pierre philosophale et la comptine. Une balade entre rivière et forêt, rude hiver et tortueux été.
Photo-concert autour d'un carnet de voyage en Mozambique.
Ce spectacle, très inspiré du ciné-concert, se présente sous forme de projections de photographies accompagnées de musique live par le groupe Lent Velours et de déclamations / improvisation de poèmes.
Avec Thibaud de Yevnine : photographies, saxophone, slam, guitare Olivier de Vauquelin : contrebasse
Damien de Saint-Denis : guitare
Bruno de Rougemont : percussions, chant.
Chaude et envoûtante est sa voix. Sa voie, dans le creux de ses déliés est sensible
émouvante.
Ils se cachent, puis se dévoilent, murmurent, hurlent, lui Medusa, au son de sa guitare, elle DomiH, fusionnant avec son encre et son calame.
Deux expressions qui réunissent avec harmonie le son et l'image. Osmose parfaite, un dialogue entre Medusa et DomiH, un voyage au delà de ce qui n'est pas dit et pas montré.
Les jeudis 5 et 19, les vendredis 6 et 20 février à 20 h
Il était une fois, dans la lointaine Pétersbourg... un fonctionnaire. Il n'était certes pas très remarquable : de petite taille, un peu chauve, le visage quelque peu grêlé... Il se retrouve soudain confronté à la nécessité d'avoir un manteau neuf. C'est dans des aventures impromptues que ce brave homme prendra son envol.
Cette nouvelle synthétise le génie de Gogol : sa capacité à raconter une histoire profondément touchante, sur un ton à la limite du burlesque…
Avec Thomas Metge
Mise en scène : Amvrosiy Svetlogorsky
Les samedis 14 et 21 février à 20 h
En parallèle aux manifestations à la Bibliothèque de l’Alcazar et au théâtre de la Criée, nous recevons la compagnie IVA pour deux représentations de La Lampe verte, cabaret itinérant créé pour la première fois en 1917 à Odessa. La cie IVA fait revivre cet univers, entre rimes slaves, musique klezmer, blagues juives et cuisine ukrainienne arrosée de vodka…
Avec Nathalie Conio, Philippe Fenwick, Tatiana Kiosova, Francesca Giromella, et de nombreux artistes invités (Nina Chapeauclap, Véra et Pierre Chydivar...)
C'est une femme seule en scène.Elle nous raconte des histoires, comme des
bribes de ce que pourrait être le féminin. Le féminin pluriel, bien entendu.
Pluriel donc forcément singulier...Elle se laisse glisser de l'une à l'autre :
histoires d'époques, de corps, de corvées, de voix, de rêves, de clichés, d'hommes,
d'enfants, de mères, de filles, de joies, de jeux, de bars, de bulles, de rings, de rues,
de rires, de travaux, d'âges, d'âmes, de larmes, d'évasions, de silences, de sang...
C'est une noctambulation. Un voyage intérieur.
Peut-être un jeu ? Des souvenirs ? Un rêve ou encore... une insomnie ?
Elle s'y laisse prendre et nous entraîne.
Montage de textes contemporains : Edward Albee, Marie Cardinal, Marie Depussé,
Louise Doutreligne, Rodrigo Garcia, Annie Leclerc, Natacha de Pontcharra, Delphine de Vigan.
Avec Anne-Marie Bougault.
Mise en scène : Florence Morana